Le Perron borné/Numéro 20 - SEPTEMBRE 2012 : Différence entre versions

De WikiARGELg
Aller à : navigation, rechercher
(Les chemins enfin imprescriptibles)
Ligne 39 : Ligne 39 :
 
<br /><u>Référence :</u> Belga dimanche 26 août 2012
 
<br /><u>Référence :</u> Belga dimanche 26 août 2012
 
<br /><u>Lien :</u> [http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_walcors-des-soupcons-d-irregularite-provoquent-un-report-du-transfert-vers-le-prive?id=7827300 www.rtbf.be/info]
 
<br /><u>Lien :</u> [http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_walcors-des-soupcons-d-irregularite-provoquent-un-report-du-transfert-vers-le-prive?id=7827300 www.rtbf.be/info]
 +
 +
==Midi de l'urbanisme:Participation citoyenne et aménagement du territoire.==
  
 
==Les chemins enfin imprescriptibles==
 
==Les chemins enfin imprescriptibles==

Version du 9 septembre 2012 à 14:28


Logo Perron.png

LE PERRON BORNÉ

Le magazine des Géomètres-Experts Liégeois
Notre mission : favoriser l’échange entre Géomètres à Liège (et au delà…)
Avec vous et pour vous


Numéro 20 - SEPTEMBRE 2012
Logo ARGELg.png



Colloque le 26 septembre: Le géomètre-expert, un partenaire de qualité

Parler de la présentation du code de mesurage


Perron20 A4.jpg


Walcors: 1 250 euros par an hors TVA et par appareil pour l'utilisation du réseau?

Alors que le ministre wallon de l'Environnement, Philippe Henry évoque des soupçons d'irrégularité dans l'attribution du marché Walcors, la société DrivenBy réagit et exige l'exécution de la convention.

La société DrivenBy, qui devait reprendre l'exploitation du réseau Walcors, s'apprête à mettre en demeure le Service Public de Wallonie (SPW) d'exécuter la convention qui les lie, a indiqué dimanche l'un de ses dirigeants, Carl Deroanne.

Philippe Henry en conflit avec la société DrivenBy

Le réseau Walcors est constitué de 23 stations GPS, réparties sur le territoire wallon, et permet à un récepteur GPS de déterminer une position géographique, avec une précision de l'ordre du centimètre. Le système avait été développé au départ pour les géomètres et agents du génie civil. Depuis lors, certains agriculteurs -environ 400- ont également obtenu un accès gratuit à ce réseau.

Le 29 juin, ces derniers ont reçu un courrier du Service public de Wallonie les informant que l'exploitation du réseau serait désormais confiée à des partenaires privés en raison de la saturation du réseau. Le seul partenaire privé actuellement impliqué demande 1 250 euros par an hors TVA et par appareil pour l'utilisation du réseau.

Un agent du service public expert technique d'une société privée

Ce partenaire privé est la société DrivenBy. Or, parmi les propriétaires de cette société, apparaît le nom d'un agent du Service Public de Wallonie (SPW), spécialiste du "network mobile mapping" et présenté comme "chief technology officer" (CTO) de DrivenBy depuis septembre 2011.

L'homme a été autorisé à cumuler sa fonction au SPW avec une activité privée, a confirmé la secrétaire générale, Danielle Sarlet. Mais cette autorisation de cumul ne visait pas cette activité. L'agent est actuellement en congé et restera en congé d'une manière ou d'une autre jusqu'à ce que le problème soit réglé, a précisé la secrétaire générale. "La situation est délicate", a-t-elle ajouté, en se refusant donner d'autres précisions.

"Dès que nous avons eu connaissance de la situation, nous avons envoyé une note verte (instruction) à l'administration enjoignant de reporter le transfert du service du public vers le privé et de préparer une réouverture du marché", a indiqué le porte-parole de M. Henry.

"L'administration était parfaitement au courant"

Carl Deroanne rétorque que la convention avec le SPW a été conclue au mois de juin et que "Tout s'est déroulé dans la plus grande transparence". Selon lui, l'administration était parfaitement au courant de l'activité privée que développait son associé, qui gère Walcors mais n'est plus en charge de ce dossier en tant que tel depuis 2007.

Cette soudaine interruption mettrait l'entreprise dans une situation délicate a souligné M. Deroanne : "Nous avons fait beaucoup d'investissements, trouvé un partenaire industriel pour garantir un service professionnel, 24 heures sur 24".

La convention signée avec le SPW prévoyait que DrivenBy prenait le relais de l'administration à partir du 1er août. La société a toutefois reçu à cette date un courrier lui indiquant que le service gratuit était prolongé d'un mois.



Référence : Belga dimanche 26 août 2012
Lien : www.rtbf.be/info

Midi de l'urbanisme:Participation citoyenne et aménagement du territoire.

Les chemins enfin imprescriptibles

Les chemins et sentiers ne peuvent plus être privatisés après 30 ansde non-usage, comme c’était prévu par la loi depuis 1841…

Fermer définitivement un chemin et priver le public d’y passer en avançant l’argument de son non-usage depuis 30 ans? Ce n’est désormais plus possible ! La prescription trentenaire extinctive, ce procédé d’appropriation d’un sentier ou d’un chemin, est bel et bien abolie en ce 1er septembre 2012.

Un pas en avant pour la mobilité douce

Associations de promeneurs, de défense de l’environnement, de promotion de la mobilité douce et mouvement de jeunesse se félicitent de ce beau pas en avant dans la protection des petites voiries. Il s’agit d’un succès certes pour la promotion des voies douces mais aussi pour la valorisation de ce patrimoine, qui n’a pas fini de raconter des tas d’histoires sur les lieux qu’il traverse et sur les personnes qui les empruntent.

Cyclistes, marcheurs, cavaliers, sportifs exploitent les richesses des chemins wallons, aujourd’hui mieux protégés.

Exception du droit belge, les voies vicinales restaient les seuls biens du domaine public prescriptibles. Une mesure incohérente pour bon nombre d’utilisateurs de ces «biens communs »…

« La loi sur les chemins vicinaux n’avait jamais évolué depuis 1841 et ne correspondait plus à la réalité », explique Olivier Saint-Amand, député Écolo à la Région wallonne et l’un des signataires de la proposition de décret voté en mai 2011. « Tout comme les atlas de voiries vicinales qui sont de magnifiques plans tracés manuellement à la plume. Ces outils devenus désuets ne sont plus actuels. Ce sont des “photographies” du XIXe siècles. » Pour preuve, l’ASBL Sentiers.be a comparé des atlas communaux (retraçant les petites voiries depuis 1841 ) de l’Entre Sambre et Meuse avec les chemins encore existants. « 88 % des voies vicinales avaient disparu ! », constate Christophe Danaux, le coordinateur de l’ASBL.

Deux mesures de modernisation

Bien que la plupart des chemins n’ont pas disparu par prescription trentenaire (voir ci-dessous), « il était temps de les préserver et de renforcer le maillage de mobilité douce, avec deux mesurespour repenser la loi du 10 avril 1841 dans sa globalité », explique Olivier Saint-Amand. La première étant l’abolition de la prescription tandis que la seconde, encore en chantier, est la mise à jour et la modernisation des atlas de voiries vicinales.

« L’important était de trouver une mesure en équilibre entre, d’une part, les préoccupations des environnementalistes souhaitant protéger le patrimoine de voiries pédestres et d’autre part, celles des agriculteurs et propriétaires terriens voulant une adaptation à la réalité du terrain. »

Attention à l’effet rétroactif !

La prescription extinctive du droit de passage des voies vicinales peut toujours être appliquée dans certains cas. Ainsi par exemple, si le propriétaire d’un terrain dans une commune rurale arrive à prouver que le chemin passant chez lui n’a pas été utilisé entre 1930 et 1960, il pourrait bénéficier de la prescription, même aujourd’hui. « Il est pourtant très compliqué de prouver qu’il n’y a eu aucun passage en trente ans ,explique l’avocat Denis Brusselmans. Cette prescription n’est donc plus une grande menace pour les chemins.» Par ailleurs, il suffira d’un seul et unique passage occasionnel en trente ans pour que le chemin ne soit jamais fermé.


Référence : lavenir.net Aurélie COMPS
Lien : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20120901_00199327

La révision du SDER est sur les rails - Une vision pour le territoire Wallon de 2040

Sur base d’une méthode rigoureuse, la révision du schéma de développement de l’espace régional (SDER) est bien engagée : des propositions d’objectifs viennent d’être adoptées par le Gouvernement wallon. Pour permettre une appropriation et une adaptation de ce document par l’ensemble des acteurs, différentes étapes de consultations sont prévues. Un document précieux

Le schéma de développement de l’espace régional (SDER) est l’instrument de conception de l'aménagement du territoire wallon. Il oriente les décisions concernant l'habitat, le cadre de vie, les déplacements, l'implantation des activités, l'urbanisme, la conservation de la nature… Il concerne donc tous les wallons.

Perron20 A3.jpg

Le schéma de développement régional est un instrument d’aide à la décision pour les autorités locales, et pour orienter les comportements vers des projets qui contribuent à un développement territorial harmonieux de la Wallonie.

La première version du SDER date de 1999. Depuis 1999, notre société a évolué, aujourd’hui nous devons apporter de nouvelles réponses à de nouveaux défis. La révision du SDER est menée par le Gouvernement wallon, à l’initiative du Ministre Philippe HENRY. Des bases solides, un processus participatif

La révision du SDER s’appuie sur différentes démarches complémentaires :

- les recommandations issues de l’évaluation de la praticabilité du SDER de 1999 ;

- le diagnostic territorial de la Wallonie, établi par une équipe interuniversitaire (la Conférence permanente du Développement territorial) ;

- les scénarios réalisés par l’Institut Destrée avec les chercheurs de la CPDT et l’administration ;

- les résultats de la démarche des Ateliers du territoire ;

- les ateliers du colloque CPDT des 21 et 22 novembre 2011 ;

- les séminaires, organisés en décembre 2011 avec des élus communaux.

Sur cette base, 16 enjeux principaux ont été identifiés le 29 mars 2012. Le Gouvernement a décidé d’y répondre, en adoptant des propositions ambitieuses de propositions d’objectifs à 2020 et à 2040.

Les acteurs régionaux (CRAT, CWEDD, UWE, IEW, …) seront consultés sur les propositions d’objectifs en septembre 2012. Les nouveaux Conseils communaux le seront juste après les élections communales. L’adoption du projet de SDER est prévue en mars 2013. Il sera alors soumis à une large enquête publique. Le SDER devrait être adopté définitivement par le Gouvernement wallon fin 2013. Des objectifs ambitieux et chiffrés

Les objectifs s’articulent en quatre piliers complémentaires et équilibrés : l’Habitat, l’Economie, la Mobilité et les Ressources et Patrimoine. Vous trouverez la déclinaison détaillée de ces 4 piliers ici.

Ils sont beaucoup plus opérationnels qu’en 1999 et se déclinent en 96 options, au service du bien-être des citoyens et de la vitalité des entreprises. Nouveauté, ceux-ci sont chiffrés : 350 000 nouveaux logements, dont 10 % minimum sur des terrains et bâtiments sous-occupés, 10% de covoiturage d’ici 2020, diminution de 50 % de la surface urbanisée …

L’ensemble des propositions d’objectifs constituent une véritable vision pour le territoire wallon à 2040, qui sera adaptée sur base de la consultation des acteurs, et complétée par une structure territoriale et des mesures d’aménagement.


Téléchargez la brochure ici


Référence : Philippe Henry Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du territoire et de la Mobilité.
Lien : henry.wallonie.be
Publié le 25/07/2012

???????????????????

Problèmes Impossibles

Perron15 Problème Impossible.gif

L' histoire des «Problèmes Impossibles ?»

C'est sous ce titre que fut publié pour la première fois dans une revue scientifique le premier casse-tête. En effet, on peut penser que ces problèmes sont insolubles tant les hypothèses semblent insuffisantes, et pourtant la solution est unique !

Les énoncés de cette rubrique sont inspirés de la même idée: poser des questions auxquelles la réponse semble impossible devant la pauvreté des hypothèses. Pourtant, elles se résolvent toutes, avec de la logique, mais aussi une haute idée de l'aptitude à raisonner des personnages de ces histoires.

Et voici quelques petits problèmes posés précédemment et non résolus (inutile de chercher la solution sur le wiki) pour cogiter pendant vos vacances, que ce soit à la plage, à la montagne, dans l'avion, ou même chez vous.

Certains de ces problèmes sont extraits des questions du championnat international de jeux mathématiques et logiques.

Si vous trouvez la solution à l'un de ces problèmes, merci de nous la faire parvenir en la publiant sur la la page de discussion de ce Perron Borné.


Problème n° 12 – Le dé sur l'échiquier

Un dé classique se trouve au départ sur la case en bas à gauche d’un échiquier.

Une arête du dé a la même longueur qu’un côté d’une case. A chaque mouvement, le dé tourne autour d’une arête vers une case adjacente, mais seulement vers la droite ou vers le haut (jamais vers la gauche ou vers le bas).

Pour un observateur fixe, sans compter la case de départ, combien le dé peut-il atteindre de cases de l’échiquier en se trouvant orienté exactement comme sur la case de départ ?

(Extrait de la finale national des jeux mathématiques - 2006)

Le partage de San Gaku

Problème n° 13 – Le partage de San Gaku

San Gaku a partagé sa propriété entre ses quatre enfants. C’est un hexagone dont la somme des longueurs de deux côtés consécutifs est toujours égale à 149 mètres.

La part de chaque enfant est un terrain triangulaire dont une piscine circulaire tangente chaque côté. Les sommets de l’hexagone sont situés sur une route circulaire dont le rayon est égal à la somme des rayons des piscines.

Quelle est la plus grande longueur d’un côté de l’hexagone arrondie au mètre le plus proche ? (Extrait de la finale internationale des jeux mathématiques - Mai 2006)

Problème n° 14 – Les trois graces

Nous retrouvons notre groupe de géomètres qui se réunissent toujours en fin de journée dans le bar de Madame Hypatie.

La patronne, comme d’habitude leur pose une colle en nous demandant de déterminer à quel étage l’immeuble, qui compte cinq étages, habitent les trois jeunes filles Adèles, Béatrice et Caroline.

Elle nous apprend :

  • que les trois beautés habitent des étages différentes
  • que Béatrice habite plus bas que caroline
  • qu'Adèles n'habite pas entre Béatrice et Caroline.

Voyant que cela ne nous suffit pas, elle déclare qu'elle va communiquer à Francis l'étage habité par Béatrice ainsi que celui habité par Caroline.

Elle tend un morceau de papier à Francis.

"Et Adèle ?", demande Francis.

Posant son doit sur sa bouche, Madame Hypatie déclare qu'elle va communiquer à Jean-Yves l'étage habité par Adèle ainsi que celui fréquenté par Caroline.

"Et Béatrice ?", demande Jean-Yves après consultation du papier correspondant.

Se tournant vers moi, Madame Hypatie me tend alors une feuille où elle à écrit à quel étage vivent respectivement Adèle et Béatrice.

"Et Caroline ?", lui demandais-je.

Elle présente alors à Patrice un morceau de papier sur lequel elle a inscrit l'étage de Caroline.

"Saurez-vous retrouver l'étage des deux autres ? "demanda-t-elle.

Patrice dut également avouer son ignorance.

Et vous, pouvez vous déterminer quel étage a t-elle indiqué sur cette dernière feuille ?

Problème n° 15 – Dames chinoises en solitaire

Dames chinoises en solitaire

Le plateau d’un jeu de dames chinoises est une étoile à six branches de 121 cases. En solitaire, on place un certain nombre de jetons sur le plateau, à raison d’un par case au maximum. Un jeton, toujours le même, saute successivement, dans n’importe quelle direction (deux, quatre, cinq ou six possibilités), un jeton voisin, alors enlevé du plateau, pour se poser sur la case immédiatement suivante, sous la condition qu’elle soit libre. Il n’y a aucun autre mouvement autorisé. Pour qu’il ne reste à la fin sur le plateau qu’un seul jeton, celui qui a effectué tous les sauts, combien de jetons peut-on placer au début, au maximum ?

(Extrait du 1/4 de finale individuels des jeux mathématiques - 2008)


Problème n° 17 – Les trimonos

Les trimonos

Franck pose des triminos sur le damier, chaque trimino couvrant exactement trois cases vides alignées du damier (horizontalement ou verticalement). A un moment, il s’arrête car il ne peut plus poser de trimino. Pourtant, il reste beaucoup de cases vides. Combien, au maximum ? (Extrait du 1/2 de finale individuels des jeux mathématiques - 2012)

Et voici enfin deux problèmes que tous les géomètres doivent pouvoir résoudre !

Problème n° 18 – Les quatre Champs

Les quatre Champs

Sur chacune des deux routes en ligne droite, des bornes sont régulièrement espacées. L'aire du champ A est prise pour unité. Celle du champ C est 2010 (la figure ne respecte pas les proportions). Quelle est l'aire du champ B ? (Extrait de la finale régionale des jeux mathématiques - 2010)

Problème n° 19 – Le jardin de Yannick

Le jardin de Yannick est un triangle dont un angle mesure le double d’un autre, et dont le troisième est obtus. Les trois côtés mesurent des nombres entiers de mètres. Quel est, au minimum, le périmètre du jardin de Yannick ? (Extrait de la finale régionale des jeux mathématiques - 2010)

Divers

Nouvelles prescriptions pour les dalles podotactiles

Depuis le 1er janvier 2012, le cahier des charges (CCT) Qualiroutes a définitivement remplacé le CCT RW99 (2004) pour tout marché de travaux d'infrastructures routières. Celui-ci concerne les travaux de voirie relevant du Service public de Wallonie ou subsidiés par lui. À la clé, quelques modifications concernant les dalles podotactiles.

Erreur lors de la création de la miniature : Impossible d'enregistrer la vignette sur la destination
Dalles podotactiles

Ce nouveau cahier des charges type Qualiroutes n'apporte que peu de changements. Le principal apport se trouve dans le chapitre C Matériaux et produits de construction. Son point 30.4 (Dalles de repérage) précise les différents matériaux autorisés pour le placement de dalles podotactiles en voirie. On regrette cependant que les dalles podotactiles à coller y soient proposées alors qu'elles accusent à ce jour une faible durabilité. En effet, elles s'arrachent ou se désagrègent avec le temps.

Pour le reste, seules des modifications mineures ont été apportées, telles que la tolérance de largeur des stries des dalles de guidage qui ont été quelque peu élargies.

Enfin, concernant la méthodologie de pose des dalles podotactiles, le chapitre G Revêtements fait clairement référence, dans son point 5.5 (Dalles de repérage), au Guide de bonnes pratiques pour l'aménagement de cheminements piétons accessibles à tous (manuel du MET n°10).

Notons que vous retrouverez plus d'informations sur les dalles podotactiles dans notre conseil accessible.

Lien vers la page Qualiroutes du portail Wallonie


Référence :
Lien : www.gamah.be

ForgetBox : une nouvelle façon d'envoyer facilement des fichiers sans se soucier de leurs tailles

Capture écran

ForgetBox est un nouveau logiciel qui permet d'envoyer facilement et simultanément de nombreux fichiers (sans limite de taille) à un ou plusieurs contacts à partir du menu contextuel de Windows ou Mac

ForgetBox affiche vos contacts Facebook, GMail ou Outlook, mais vous pouvez aussi entrer directement une adresse e-mail. Vos destinataires seront avertis par un mail contenant un lien de téléchargement pour récupérer l'envoi.

ForgetBox est l’œuvre de Séverin Marcombes, un jeune étudiant français.


Caractéristiques :

  • Pas besoin de charger les fichiers un par un
  • Pas besoin de compresser les fichiers pour les envoyer
  • Pas de limite de taille des fichiers
  • Pas besoin d'ouvrir son navigateur pour l'utiliser, un clic droit suffit
  • (Ça marche même sans Internet - et si...)


Référence :
Lien: Forgetbox

L'éthylotest pour éviter les ennuis en France

Avis aux vacanciers s’apprêtant à arpenter les routes de France. A partir du 1er juillet tout automobiliste devra disposer d’un éthylotest dans sa voiture. Le conducteur pourra ainsi vérifier s'il n'a pas franchi le taux d'alcool autorisé dans l'Hexagone. Celui-ci s'élève à 0,5 ‰ pour les particuliers et à 0,2 ‰ pour les conducteurs de transport en commun.

Le but recherché par les autorités françaises est évidemment de réduire le nombre d'accidents de la route.

Perron19-12.gif

"L'alcool, même en faible quantité, influence négativement le comportement au volant. La conduite proprement dite, par exemple, est moins bien assurée et la vitesse de réaction diminue. Par rapport à un conducteur sobre, un chauffeur qui a une alcoolémie de 0,8 pour mille a un risque 2,7 fois plus élevé d'être impliqué dans un accident", précisent le SPF Mobilité et l'IBSR dans un communiqué.

"Ces éthylotests sont vendus en grande surface, dans les stations-essence, les centres spécialisés auto ou encore les boutiques en ligne", explique locationdevoiture.fr. Depuis le mois de novembre, ces équipements sont aussi obligatoirement proposés dans tous les bars de nuit et discothèques. Les prix varient entre 1 et 3 euros pour un éthylotest chimique et ils sont de minimum 100 euros pour un électronique.

Cependant, si vous êtes pris en défaut pendant les grandes vacances, il ne vous en coûtera qu'un avertissement. La police française ne sanctionnera les infractions qu'à partir du 1er novembre. Le montant de l'amende est actuellement fixé à € 11.

Ces équipements sont vendus en grande surface, dans les stations-essence, les centres spécialisés auto ou encore les boutiques en ligne.


Référence :
Jonas Legge
Lien : http://www.lalibre.be

Que ferais-je sans mon smartphone ?

Perron19-01.jpg

Cadenas lance son application Apple et Androïd pour télécharger des modèles CAO gratuitement. L'application permet aux ingénieurs de bureaux d'études et aux acheteurs dans les domaines de la conception mécanique, de l'automobile et du bâtiment d'accéder directement à des millions de pièces de plus de 300 fournisseurs industriels internationaux. Les modèles CAO 3D sont compatibles avec la plupart des standards internationaux et s'intègrent dans les logiciels de CAO tels que Catia, Autodesk Inventor, SolidWorks, Creo, NX, AutoCAD, Solid Edge, etc.


Référence :
Newsletter n°150 du 05/06/2012
Lien : www.cad-magazine.com

L'ULg, championne de robotique en Suisse

Liège. Les robots conçus par les futurs ingénieurs de l'Ulg ont remporté la coupe de Suisse de robotique et sont restés invaincus en Allemagne. Le projet a permis à plusieurs générations d'étudiants de passer de la théorie à la pratique.

Bull et Fritz. Foi d'ingénieurs, ces deux-là sont liégeois. Et durant quelques semaines, en dignes robots qu'ils sont, ils ont participé à des concours de robotique, coachés par leurs inventeurs, une trentaine d'étudiants de l'Université de Liège composant la « Montefiore Team ».

Bull et Fritz sont les derniers nés d’une longue lignée de robots

Nul n'est prophète en son pays : ils ont trouvé leurs maîtres lors de la coupe nationale de Belgique Eurobot, où ils ont été classés troisième. Mais au niveau international, ils ont particulièrement brillé : ils ont remporté le concours suisse et sont restés invaincus lors de la coupe d'Allemagne.

« Ce genre de projet nous permet de mettre la théorie en pratique, et de permettre à des étudiants de différentes disciplines comme l'électronique, l'électricité, l'informatique ou l'optique, de collaborer, explique Stéphane Lens, assistant en charge du projet. Cette application nous permet également de promouvoir les sciences, dans un cadre plus large. C'est une application pratique motivante, une bonne vitrine qui attire les étudiants. »

Concrètement, le concours se déroule sous forme de duels, durant lesquels s'affrontent les robots de deux équipes adversaires durant 90 secondes. Pas question ici de robot humanoïde, mais de volumes limités à une trentaine de centimètres de haut et de diamètre.

L'objectif, cette fois, était de ramasser des pièces et des lingots sur un plateau de jeux en évitant les obstacles. Le tout sans télécommande.

Pour cela, les étudiants ont planché durant plusieurs mois sur la technologie à concentrer dans leurs machines, le système de détection par mini-caméras ou encore la programmation liée au déplacement des deux robots.

Bull et Fritz sont les derniers nés d'une longue lignée de robots : leurs ancêtres ont permis à cinq générations d'étudiants de se faire la main. Et ainsi permettre aux équipes de l'Université de Liège d'être de plus en plus performantes.


Référence :
Anne-Catherine DE BAST
Lien : lesoir.be

Photos des évènements organisés par l'ARGELg

Les photos des évènements publiques suivants sont disponibles sur PicasaWeb et sur Facebook

Agenda

  • Le 20 septembre 2012 de 18h30 à 21h30 à la caserne Saint-Laurent, GéoFormation "Les réseaux d'égouttage - 1er module : calcul d'un réseau d'égouttage dans le cadre d'un lotissement" par Monsieur Aquilina C., chargé de cours à l'ISIL.
  • Le 27 septembre 2012 de 18h30 à 21h30 à la caserne Saint-Laurent, GéoFormation "Les réseaux d'égouttage - 2ème module : application pratique sur le calcul d'un réseau d'égouttage dans le cadre d'un lotissement" par Monsieur Aquilina C., chargé de cours à l'ISIL.
  • Le 18 octobre 2012 de 17h30 à 20h30 à la caserne Saint-Laurent, GéoFormation "Pathologie des constructions - 1er module : l'importance de la pathologie des constructions dans la vie professionnelle du géomètre-expert. Les thèmes abordés seront: la pathologie des constructions généralement rencontrée en Belgique, exposés et divers cas vécus avec illustrations, les activités du géomètre-expert et son contact avec la pathologie des constructions." par Monsieur Wargnies Françis, géomètre-expert.
  • Le 25 octobre 2012 de 17h30 à 20h30 à la caserne Saint-Laurent, GéoFormation "Pathologie des constructions - 2ème module : l'importance de la pathologie des constructions dans la vie professionnelle du géomètre-expert. Les thèmes abordés seront: la pathologie des constructions généralement rencontrée en Belgique, exposés et divers cas vécus avec illustrations, les activités du géomètre-expert et son contact avec la pathologie des constructions." par Monsieur Wargnies Françis, géomètre-expert.
  • Le 8 novembre 2012 de 17h30 à 20h30 à la caserne Saint-Laurent, GéoFormation "Pathologie des constructions - 3ème module : l'importance de la pathologie des constructions dans la vie professionnelle du géomètre-expert. Les thèmes abordés seront: la pathologie des constructions généralement rencontrée en Belgique, exposés et divers cas vécus avec illustrations, les activités du géomètre-expert et son contact avec la pathologie des constructions." par Monsieur Wargnies Françis, géomètre-expert.
  • Le 22 novembre 2012 de 17h30 à 20h30 à la caserne Saint-Laurent, GéoFormation "Pathologie des constructions - 4ème module : l'importance de la pathologie des constructions dans la vie professionnelle du géomètre-expert. Les thèmes abordés seront: la pathologie des constructions généralement rencontrée en Belgique, exposés et divers cas vécus avec illustrations, les activités du géomètre-expert et son contact avec la pathologie des constructions." par Monsieur Wargnies Françis, géomètre-expert.



Vous voulez partager des infos, des documents, des liens internet, des ouvrages avec nos
confrères ou réagir à un article, n’ hésitez pas à me contacter sur la page de discussion de la revue ou à l’adresse suivante : LePerronBorne at ARGELg.be